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Voyages solidaires, Tourisme éthique et Éco-tourisme
Sommaire :
OnParOu.com soutient l'ONG Médecins du Monde
16 exemples de Tourisme Solidaire
L'ONG Geres soutenu par le tour-opérateur Allibert Voyages au Népal
L'association Tourisme & Développement Solidaire au Burkina Faso
L'association Vivre à Kutumsang en Pays Sherpa au Népal
L'association Les Amis de Tamnougalt dans le Sud Marocain
L'association Rencontres au bout du monde en Asie
L'association Terres Lointaines présente en Amérique Latine
L'association Pachamama au Pérou
L'association des Volontaires Unis au Sénégal
L'association La Posada San Rafael au Guatemala
L'association Vivre à Nguékokh au Sénégal
L'association Tempelga au Burkina Faso
L'association Double Sens au Bénin
L'association Tamadi au Mali
L'association Himalayas Voyages au Népal
L'association Sakado au Ghana, Togo et Bénin
L'association Soliecol en Patagonie
Le portail du tourisme solidaire : Echoway.org
Rubrique Tourisme Solidaire de "Uniterre.com"
Le portail sur le tourisme communautaire en Equateur
La Charte Ethique du Voyageur élaborée par l'éditeur
Lonely Planet et le tour-opérateur Atalante
Coordonnées des associations
POURQUOI UN VOYAGE SOLIDAIRE ?
Un tourisme solidaire pour permettre une meilleure redistribution des richesses du secteur touristique dans les pays en voie de développement Le tourisme est la première industrie mondiale et représente pour de nombreux pays notamment en voie de développement une véritable manne pour l'économie nationale. Dans les faits, on s'aperçoit que la redistribution des richesses émanant du secteur touristique est loin d'être partagée par l'ensemble de la population dans les pays touristiques en voie de développement. Les principaux bénéficiaires restent généralement le propre d'une minorité qui détient les rouages du secteur : réceptifs, hôteliers, guides, commerçants… A cela s'ajoute des effets négatifs : Sur le plan de l'emploi : L'introduction du tourisme dans les pays en voie de développement est rappelons-le un phénomène récent, qui n'est pas sans poser de problème. Le développement spectaculaire du tourisme dans des régions de plus en plus lointaines pose le problème de la concurrence entre des secteurs économiques traditionnels, le plus souvent en difficulté, et l'arrivée d'un secteur d'économie de marché a fort valeur ajoutée : le tourisme. D'un point de vue économique, les emplois liés au tourisme entrent en concurrence avec les activités traditionnelles, comme l'agro-pastoralisme ou la pêche. L'attrait du tourisme pour la population locale est grand, celui-ci étant lié à divers facteurs : image attirante, pénibilité moindre que pour les activités traditionnelles, revenus pouvant être largement supérieurs à la moyenne... Dans un contexte de chômage élevé, il en découle certaines dérives : précarité des emplois, absence de contrat de travail, absence de considération de la part des employeurs, état de servitude envers les touristes ou les entreprises... Sur le plan socioculturel : En dehors des considérations liées à l'emploi, l'introduction du tourisme a tendance à accentuer les disparités sociales au sein de la population. Cette situation a pour conséquence des situations d'incompréhension, de conflit et de concurrence qui tendent à remettre en cause les valeurs traditionnelles de la population locale. L'attraction qu'exerce le tourisme pour les raisons évoquées plus haut pose le problème de son intégration sociale dans l'ensemble des secteurs traditionnels soumis généralement à des problèmes de restructuration. En dehors des effets de la concurrence entre le tourisme et les secteurs traditionnels, se pose le problèmes de la confrontation entre deux mondes aux multiples différences : niveau de vie, mode de vie, croyance, comportements... L'image souvent mythique de certaines régions reculées, entretenues par les professionnels du tourisme est très souvent réductrice par rapport à la réalité, avec une dissimulation systématique des problèmes sociaux effectifs. Le client touriste sous informé à qui l'on présente ces destinations comme heureuses, se considère généralement de ce fait comme un hôte recherché et se conduit fréquemment "comme en pays conquis". Ces préjugés et cet état d'esprit se traduisent par un manque de respect souvent plus par ignorance que volontaire. Les exemples les plus courant étant la prise de photos d'autochtones malgré leur désaccord, la distribution de bonbons ou stylos partant d'une bonne volonté mais qui encourage la mendicité des plus jeunes, le port de tenue vestimentaires pouvant choquer, la méconnaissance des règles locales de politesse... A cela s'ajoute des problèmes plus médiatiques mais tout aussi lourds de conséquences. Développement de la prostitution et de la pédophilie aux abords des complexes touristiques et dans les discothèques des hôtels, mendicité concentré dans les zones touristiques... Sur le plan environnemental : En dehors du mal déjà fait par les nombreuses constructions d'infrastructures touristiques dans certaines zones considérées comme sensibles (littoral, montagnes...); se posent des problèmes locaux de pollution supplémentaires liés à l'activité touristique. Les plus courants étant le développement de décharges sauvages, la surconsommation d'eau dans les hôtels, l'absence de traitement des eaux usées. La prise de conscience des acteurs locaux du tourisme concernant la protection de l'environnement est généralement inexistante du fait de l'absence dans le pays de politique globale, secteurs confondus, pour la préservation des milieux naturels. Un tourisme solidaire pour répondre à la demande d'une part croissante de la clientèle prête à privilégier des produits "éthiquement corrects" L'évolution du consommateur met à jour un véritable besoin de repère au sein d'une offre aujourd'hui multiforme dans tous les secteurs. Ce besoin de repère passe par l'impératif moral et éthique de l'entreprise. Si la consommation a souvent une signification ludique, celle qui s'accompagne de sens est privilégiée. En d'autres termes, les consommateurs attendent des entreprises qu'elles prennent en compte certains problèmes de société dans l'exercice de leur activité. " Le succès à long terme d'une entreprise dépend aujourd'hui non seulement du respect rigoureux des règles du jeu économique, mais aussi de la référence à des valeurs supérieures telles que le respect (de l'homme, de l'environnement), l'honnêteté (la transparence et l'intégrité) et la solidarité (la conscience de l'intérêt collectif). L'Observateur Cetelem 1999. D'après une étude Fleishman-Hillard et Ipsos (juin 1999), neuf clients sur dix sont disposés à privilégier les produits qui démontrent une action citoyenne. Et sept Français sur dix accepteraient de payer plus cher un produit "éthiquement correct" (CRC - Consommation, mai 1999). |
LE PROFIL DU TOURISME EUROPEEN
EST-IL EN TRAIN DE CHANGER ?
Emergence d'un nouveau consommateur tiraillé entre la société de consommation et sa responsabilité de citoyen Il y a comme un air de changement dans les modes de consommation en Occident. Les campagnes successives pour consommer " différent ", " responsable " ou " éthique " qui ont surtout touché le marché des biens de consommation1 vont-elles se propager au tourisme ? Le futur touriste voudra-t-il de l'éthique dans son voyage ? C'est ce que laissent supposer de nombreux articles parus ici et là dans nos périodiques mais c'est aussi l'impression qu'on avait au dernier Salon Mondial du Tourisme qui s'est tenu à Paris du 18 au 21 mars. La série de conférences était inaugurée par une présentation de la Charte du Voyageur à l'initiative du tour opérateur Atalante, associé pour la circonstance à des partenaires tels que Swissair ou encore le magazine Grands Reportages. Pour sa part, la revue Touriscopie, dans son tableau de bord 1999, dresse le profil d'un consommateur " deux en un ", constamment tiraillé entre les pulsions de la société de consommation et celles que la culture, l'histoire et le moi profond lui commandent, l'incitant à une quête de vrais repères. On a le sentiment qu'émerge doucement mais sûrement un nouveau consommateur, soucieux de rythmes plus lents, d'attachement au passé, de solidarité, d'harmonie mais aussi d'aventure et surtout en quête de lui-même. Encore empêtré dans ses contradictions, ce nouveau consommateur tend à se détacher peu à peu de la société de consommation dans ce qu'elle avait de plus absurde : consommer pour consommer sans aucun discernement. On assiste à une prise de conscience et à une volonté d'agir avec plus de recul. Les rythmes effrénés de notre société, les mutations constantes, les modifications extrêmement rapides des repères, ce monde du zapping dans lequel nous vivons pousserait-il les consommateurs que nous sommes à réfléchir posément à nos rapports avec la consommation ? Un besoin de calme, de lenteur, de ressourcement se fait sentir. Il est d'abord apparu dans les biens de consommation : l'écologie, la tradition, le respect orientent aujourd'hui de plus en plus notre choix. Le succès de concepts tels que The Body Shop et des campagnes comme "de l'éthique sur l'étiquette" laissent supposer qu'il y a là plus qu'un simple phénomène de mode : une mutation profonde des modes de consommation. On peut prédire sans risque d'erreur que le tourisme va également être touché par ce phénomène, tant il est vrai que le tourisme incarne le rêve, l'idéal, la quête de soi. Le tourisme c'est l'être plus que l'avoir puisqu'il n'est pas un bien de consommation comme un autre : il n'est pas tangible. En consommant du tourisme, nous consommons une recherche, une idée, une sensation… D'ores et déjà, le dernier Salon Mondial du Tourisme a été l'occasion de se rendre compte de l'essor incroyable des tour opérateurs d'aventure, de trekking, qui proposent un tourisme plus vrai, plus simple, plus authentique, à l'opposé du tourisme de masse et du tourisme balnéaire. Bien entendu, les pièges se dessinent déjà du côté de l'offre comme du côté de la demande. Il est facile de se donner bonne conscience en achetant un voyage garanti "tourisme responsable" et pour un voyagiste, il est tentant de se ruer sur le concept d'éthique comme argument de vente. Le débat est donc ouvert sur l'opportunité ou non de vulgariser le tourisme responsable et durable, de le "marketer" et d'en faire un produit comme un autre. Il est clair que la tentation sera forte pour les acteurs du tourisme de proposer un tourisme saupoudré d'éthique pour répondre à une demande qui promet d'être la tendance la plus forte des décennies à venir. C'est aux citoyens responsables que nous sommes de rester vigilants et de faire preuve de discernement. Françoise El Alaoui TRANSVERSES : Association de réflexion, d'information et d'action sur le tourisme Nord-Sud. Site internet : http://www.chez.com/transverses |
OnParOu.com SOUTIENT L'ONG MEDECINS DU MONDE
L'agence de voyages OnParOu.com se veut citoyenne et solidaire, c'est pourquoi elle soutient l'ONG Médecins du Monde par un don annuel de 2000.00 € dans le cadre d'une convention signée entre OnParOu.com et MDM. Les dons sont affectés à la mission du Nicaragua pour la formation, le dépistage et le traitement des lésions pré-cancéreuses du col de l'utérus dont est victime la population féminine de la région de Quilali - San Bartolo. Le Nicaragua est le 2ème pays le plus pauvre d'Amérique Latine après Haïti. L'objectif de la mission est de mettre en place un programme de formation au dépistage et au traitement des lésions précancéreuses du col de l'utérus. L'infection par le papillomavirus humain (HPV) est la première maladie sexuellement transmissible dans le monde. Le virus est à l'origine du cancer du col de l'utérus qui reste le premier cancer de la femme en Amérique centrale. La mission du Nicaragua est suivie par la délégation Aquitaine de Médecins du Monde.
Des nouvelles encouragentes de la mission Médecins du Monde au Nicaragua :
Je suis le Dr SAMPIETRO William , co-responsable de la mission MIR AQUITAINE au NICARAGUA. Je me permets de vous écrire pour vous tenir au courant de l'avancée du projet. Je suis personnellement médecin urgentiste à Tarbes et je m'occupe de ce projet avec le Dr LECHARTIER gynécologue à Bayonne. Notre but est de diminuer l'incidence du cancer du col de l'utérus dans une région isolée du Nicaragua. Pour ce faire nous avons 2 grands volets d'action :
1/ Détecter et traiter les lésions précancéreuses précocement en réalisant une détection de masse par frottis et inspection visuelle directe de la lésion après une coloration spéciale. Cette lésion est détruite sur place par un moyen simple et indolore qui est la cryothérapie.
2/ Développer le laboratoire d'analyse médicale afin de lire quantitativement et qualitativement tous ces frottis. Dans un but de pérennisation de notre action, nous travaillons avec le personnel local (médecins infirmières techniciens de laboratoire) que nous formons par le biais d'un professeur de gynécologie de la faculté de médecine de Managua la capitale. Il fait un séminaire de formation tous les 15 jours dans le dispensaire de notre projet. Ceci afin de rendre autonome le personnel local à la fin du projet. Nous avons envoyé parallèlement un technicien de laboratoire cytologiste français Philippe DAUX afin d'évaluer le laboratoire de biologie local, former le personnel et l'aider ponctuellement.
Nous revenons d'une mission de supervision en Novembre 2008 et le projet se déroule au mieux :
1/ Nous avions comme objectif de détecter 2000 femmes en 2 ans, 1600 ont déjà étaient détectées en 1 an. Le personnel local, médecins généralistes, infirmières, aides soignantes continuent à être formées et seront bientôt autonomes. Plus de 120 patientes ont reçu un traitement local et salvateur.
2/ Le personnel de laboratoire est devenu extrêmement compétent et ce laboratoire est maintenant victime de son succès et reçoit plus de frottis qu'il ne peut lire. Nous avons donc une action de lobbying directement sur le ministère de la santé pour embaucher d'autres techniciens de laboratoire. Nous allons continuer nos efforts en 2009 afin de poursuivre cette campagne contre le cancer du col de l'utérus dans ce pays qui est la 1ère cause de mortalité chez la femme jeune. Pour des difficultés socio économiques, les femmes que nous avons détectées et traitées auraient eu une cancer de haut grade dans quelques années sans notre action.
Toute l'équipe de MDM Bordeaux, de notre projet et l'équipe locale vous remercient vivement de votre aide. Personnellement je tiens à vous exprimer mon profond respect pour votre engagement auprès de ces femmes Nicaraguayennes.
16 EXEMPLES DE VOYAGES SOLIDAIRES
L'ONG GERES, est soutenue dans ses activités au Ladakh (Himalaya Indien) et au Népal par le voyagiste Allibert Voyages, spécialistes des voyages "aventure" aux 4 coins de la planète.
Tamadi est donc une association loi 1901 créée en juillet 2005. Notre objectif est de proposer aux voyageurs une forme de tourisme en m milieu rural au plus près des habitants des pays visités tout en procurant à ces derniers un complément de revenus.
Au départ, l'association de protection des droits de l'enfant Enfants de Tous Pays crée au Népal une maison d'accueil d'enfants des rues dont elle assure la gestion. Lors de cette aventure humaine, Frédéric et Delphine, membres fondateurs d'Enfants de Tous Pays rencontrent Suraj, guide de rue Népalais. Enchantés par cette rencontre, ils décident de travailler ensemble. Au bout de quelques temps, Enfants de Tous Pays et Suraj décident de créer un projet de Tourisme Solidaire au Népal. Afin de clarifier cette activité, Himalayas Voyages est créée. Cela permet à Suraj de toucher un revenu fixe et dans un futur proche, de créer une agence de Tourisme Solidaire au Népal. Un emploi est également créé en France. Parallèlement, Himalayas Voyages propose la conception de circuits de Tourisme Solidaire pour des particuliers, agences, associations et autres organismes souhaitant proposer des programmes originaux (visites de producteurs de commerce équitable, zones géographiques particulières,...). Multiples agences et associations proposent des voyages de Tourisme Solidaire. Il est donc essentiel de clarifier notre propre vision du Tourisme Solidaire. Pour nous, il s'agit tout d'abord de privilégier l'échange et les rencontres avec les populations des pays visités. Par exemple, les journées de marche que nous proposons sont courtes afin de laisser le temps aux voyageurs de découvrir l'environnement alentour. Nous proposons également un hébergement au sein de la maison d'accueil de Katmandou. De même, nous préférons rester dans les sentiers battus afin de ne perturber qu'au minimum l'équilibre naturel des zones encore non touchées par l'influence touristique. Nous proposons pour les programmes hors des sentiers battus de les créer sur demande afin que cela reste exceptionnel et non systématique. Enfin, 24% du prix des voyages est reversé à l'association Enfants de Tous Pays afin de garantir le financement de la scolarisation des enfants des rues accueillis à présent non seulement à Katmandou depuis 2004 mais également à Pondichéry, Inde, depuis 2005. Si vous désirez en savoir plus, que vous vous posez des questions sur le Népal, n'hésitez pas à visiter notre site Internet ou à contacter Sylvain aux coordonnées ci-dessous : Himalayas Voyages Enfants de Tous Pays Vous pouvez visiter le site de l'association : www.himalayasvoyages.com
Ayant vu le jour en ce début d'année 2012, l'association SAKADO conçoit des circuits organisés ou sur mesure au Ghana, Togo et Bénin et propose un mode de voyage alternatif et responsable, ouvert à tous les voyageurs de tous âges et de divers horizons qui veulent vivre une aventure collective, un voyage utile et enrichissant. Chaque voyage, dont chaque participant est le protagoniste, allie le rythme de chacun - du plus tranquille et sécurisant, au plus aventureux - à nos convictions d'un voyage enrichissant et respectueux. Pour cela, SAKADO oeuvre à replacer la rencontre, l'échange et le dépaysement au coeur de ses voyages et surtout à apporter une aide réelle au développement communautaire en les majorant d'une solidarité active et immatérielle (partage de connaissances, achats des produits aux producteurs locaux, collaboration avec les acteurs locaux : guides, cuisiniers…). SAKADO s'engage ainsi à promouvoir activement une manière de se déplacer où la solidarité est l'affaire de tous les jours, où l'immatériel reprend tout son sens, où le respect et la compréhension par l'échange est source de bonheur et de liberté.. SAKADO Vous pouvez visiter le site de l'association : www.voyagessakado.com
Soliecol est une entreprise de tourisme équitable en Patagonie, terre (presque) vierge et (encore) méconnue. En osmose avec ses environnements naturels et culturels, SOLIECOL propose des randonnées à cheval à la carte, d'une journée à une semaine. Ce projet SOLIdaire et ECOLogique rassemble une douzaine de familles paysannes de Patagonie et des citoyens du monde entier, en quête d’aventures et sensations indescriptibles. Il s’agit de nouvelles dimensions : horizontale sur les interminables steppes voisines de la fameuse route 40, verticale à l’ombre de la Cordillère des Andes, à l’endroit précis où le volcan Domuyo culmine à 4709 mètres. Sous le ciel de Patagonie, d’humeur toujours bleue, les gauchos (cowboys) élèvent bovins, ovins et caprins, perchés sur leurs chevaux criollos (autochtones). Ils vous invitent dans leurs humbles maisons, autour d’un mate, la boisson traditionnelle. Ici, les troupeaux broutent paisiblement, les chevaux galopent en totale liberté, les flamands roses rasent les reflets bleus des lagunes… Le leitmotiv de notre tribu ne comporte que deux mots : SOLIDAIRE et ECOLOGIQUE, qui eux-mêmes sont la base de notre mot-clef : RESPECT. Le respect pour ce et ceux qui nous entourent, tout simplement. Nous sommes une douzaine de familles paysannes, dont la majorité vit à l'écart des villages, sans eau courante ni électricité. Pour combler les distances que l'immensité patagonienne nous impose, nous nous sommes rapprochés et avons uni nos forces autour d'un objectif commun : le partage de notre culture en Argentine.
La tribu grandit sans cesse, aux cotés des guides et des hôtes, les visiteurs du monde entier qui nous accompagnent une journée, une semaine ou un mois, choisissent leur place dans le cercle que nous formons. Ainsi, depuis la ville ou la campagne, de Bretagne ou de Patagonie, de Belgique ou de Lituanie, tous les citoyens du monde sont invités au cœur de ce partage, de ce mot : RESPECT.
SOLIECOL
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LE PORTAIL THEMATIQUE SUR LE
VOYAGE SOLIDAIRE ECHOWAY.ORG
L'objectif principal d'EchoWay est de faire la promotion du tourisme durable à travers son site Internet www.echoway.org et de mettre à dispositions des voyageurs des adresses de tourisme solidaire toutes visitées et expertisées par un membre d'EchoWay. Ainsi nous sommes certains que les adresses mises en lignes correspondent aux critères du tourisme solidaire et écologique. La particularité de notre association est qu'elle est la seule à s'adresser directement au voyageur indépendant et que nous sommes les seuls en France a fournir ce type d'information gratuitement. Sur le site d'EchoWay on trouve différents types d'informations : - Des adresses de tourisme solidaire et écologique partout dans le monde pour partir en individuel - Des informations pour voyager propre (sac à dos écolo) - Des informations sur le tourisme durable et les énergies renouvelable - Des offres de stages d'écovolontariat Nous avons réalisé un gros projet de recensement et d'expertise de sites de tourisme solidaire et écologique au Mexique et en Amérique centrale. Ce projet est visible sur la page des adresses. Nos coordonnées: EchoWay France 75, avenue Phillipe Auguste 75011 Paris E-mail : info@echoway.org Tel : 01 43 73 51 87 EchoWay Mexique calle Peten 512 col. Narvarte Vertiz 03 601 Mexico E-mail : info-nomades@echoway.org Tel : (00 52) 55 56 05 51 99 Site internet : http://www.echoway.org |
LE PORTAIL THEMATIQUE SUR LE TOURISME
COMMUNAUTAIRE EN
EQUATEUR
Le Réseau REDTURS (redturs.org) du Bureau International du Travail (Promotion des initiatives de tourisme solidaire et durable en Amérique Latine) présente un nouveau portail et un projet novateur entièrement géré par des étudiants de Quito spécialisés dans le domaine du tourisme. Par le biais du portail www.uct.edu.ec rubrique Tourisme Communautaire, le voyageur peut obtenir des informations actualisées et effectuer gratuitement les réservations des différentes destinations présentées. Nos coordonnées : "Info UCT" Junior Entreprise de la UCT (Universidad de Especialidades Turísticas) Avenida Patria y 9 de Octubre Quito - Ecuador Tel : (593) 2544 100 ext 112 Fax : (593) 2544 100 ext 110 E-mail : infouct@uct.edu.ec Site Internet : http://www.uct.edu.ec rubrique Tourisme Communautaire |
LA CHARTE ETHIQUE DU VOYAGEUR ELABOREE
PAR LONELY PLANET ET LE
VOYAGISTE ATALANTE
L'éditeur Lonely Planet et le tour-opérateur Atalante ont élaboré une Charte Ethique du Voyageur qui rassemble les comportements ou les attitudes à encourager en tant que voyageur. Apprendre à découvrir d'autres cultures sans pour autant les juger, faire confiance à son bon sens et garder en tête quelques conseils, tout cela nous apparaît comme le gage d'un beau voyage mais aussi d'un développement durable de notre planète. Il s'agit de conseils simples que nous devrions tous avoir en tête afin de permettre un meilleur respect mutuel entre visiteurs et populations autochtones. LE RESPECT EST LE GAGE D'UNE MEILLEURE RENCONTRE L'un des attraits du voyage tient à la diversité des peuples et des cultures rencontrés. Or, chaque culture, religion et mode de vie est soumise à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre, plutôt que de juger. Le voyage ne se conçoit pas sans respect et humilité vis-à-vis des personnes, des biens, de la culture et du mode de vie du pays visité. Ce respect se traduit par des attitudes simples. Chaque pays vit selon un rythme qui lui est propre. Dans certains cas, la hâte et l'impatience ne sont pas les meilleurs moyens de s'attirer la sympathie. • Les tenues trop moulantes, trop dénudées, trop ostentatoires ou trop décontractées sont susceptibles de choquer sous certains cieux. Il en va de même des codes régissant les contacts corporels (caresser la tête d'un enfant, serrer la main d'une femme pour un homme, s'asseoir à côté d'une femme, s'embrasser en public…). • Une bonne photo se fait avec son sujet, pas contre lui. Les photographes ont tout à gagner à prendre le temps d'établir un climat de confiance, à demander l'autorisation de filmer ou de photographier (auprès des parents pour les enfants) et à se conformer aux éventuels refus. • Il est préférable de ne promettre d'envoyer des photos aux personnes photographiées que si on est certain de pouvoir respecter son engagement (y compris dans le cas où une contrepartie ou une rétribution est demandée). • Respecter les vaccinations conseillées permet d'éviter l'introduction de maladies dans le pays visité. Il est important d'utiliser les traitements antipaludéens en respectant les recommandations de l'OMS : surdoser présente le risque d'augmenter la résistance des souches au détriment des populations locales. • Le tourisme sexuel est une atteinte à la dignité humaine condamnée par les lois. Il ne ressemble pas toujours au premier abord à la prostitution. Nombreux sont les exemples de voyageurs qui rentrent de tel ou tel pays émerveillés de la "fantastique liberté sexuelle" (!) de ses habitants, sans même réaliser qu'elle n'est motivée que par la misère ambiante. L'ARGENT, LES BIENS, LA NOURRITURE N'ONT PAS PARTOUT LA MÊME VALEUR La différence de niveau de vie entre le voyageur et la population du pays d'accueil, lorsqu'elle existe, peut être à l'origine d'incompréhensions et de dérives. Être accueilli dans un village ou une famille équivaut dans certains cas à un grand sacrifice pour les populations locales. Ce qui est offert au voyageur, tout comme ce qu'il offre, doit être mesuré en valeur locale. • Dons et cadeaux ne sont pas des gestes innocents. Ils peuvent parfois prendre une connotation condescendante, méprisante ou déplacée (jeter par exemple des pièces ou des bonbons à des enfants afin de s'en débarrasser…). Les cadeaux, dons et pourboires trop importants compte tenu du niveau de vie général du pays visité déstabilisent les équilibres économiques locaux. Les enfants qui reçoivent de l'argent pour des photos ou parce qu'ils mendient ne sont plus scolarisés, gagnent plus d'argent que leur père : ceci peut créer d'importantes distorsions dans les structures familiales (non-respect du père et des anciens). • Certains dons peuvent s'avérer dangereux lorsqu'ils sont distribués au hasard, notamment les médicaments. Les hôpitaux et dispensaires, lorsqu'ils existent, sont souvent plus à même de les gérer. De la même façon, les bonbons et sucreries ont des conséquences longtemps après notre passage (caries dentaires). • Utiliser les hôtels locaux plutôt que les chaînes hôtelières d'État ou étrangères, les transports locaux, les services rémunérés des populations locales (guides, cuisiniers, muletiers, porteurs, ménage…) est souvent le meilleur moyen de les faire bénéficier directement de l'argent du tourisme. • Un appareil photo ou simplement une paire de chaussures peuvent être l'équivalent de plusieurs mois ou d'années de salaire aux standards du pays visité. Les exhiber ou les traiter sans ménagement peut s'avérer choquant ou être mal compris. • Le marchandage fait culturellement partie de la tradition commerciale de certains pays. S'y refuser est souvent mal interprété et peut contribuer à l'augmentation du coût de la vie. En revanche, il ne faut pas oublier que des sommes dérisoires pour le visiteur peuvent être d'une grande importance pour celui qui les reçoit. • En règle générale, les voyageurs doivent se garder d'abuser de la tentation de populations démunies à vendre des objets sacrés, traditionnels, ou faisant partie du patrimoine du pays (sauf s'ils sont réalisés à la seule fin d'être vendus aux touristes). SEULE RESTE L'EMPREINTE DE NOS PAS L'espace naturel et les sites culturels sont souvent les principales richesses touristiques d'un pays et la première motivation des voyageurs qui s'y rendent. Les voyageurs ont une responsabilité vis-à-vis de l'environnement du pays d'accueil. • Les voyageurs se doivent d'éviter de laisser derrière eux leurs déchets, quels qu'ils soient. Tous les moyens (emballages bio-dégradables, etc.) permettant de limiter les déchets nés du tourisme doivent être utilisés. Mieux vaut limiter, dans ses bagages, les emballages qui devront être laissés sur place. • Il est préférable de rapporter avec soi les déchets non-destructibles (sacs plastiques, piles et batteries, etc.) après un voyage dans un pays ne disposant pas d'infrastructure d'élimination des déchets. • Certains déchets (papiers, papier hygiénique, etc) peuvent être facilement brûlés, bien que, dans certaines cultures, le feu ait un rôle sacré, et il peut s'avérer choquant de l'utiliser pour détruire les déchets. Il faut en règle générale se renseigner sur les comportements locaux de gestion des déchets. Dans certaines régions, les boîtes de conserves peuvent être par exemple laissées aux populations locales qui les recyclent en bijoux ou objets utilitaires. • Il est préférable dans certaines régions d'utiliser du gaz ou d'autres moyens de combustion peu consommateurs de bois pour faire sa cuisine. Si aucune solution de cuisine au gaz n'est possible, mieux vaut avoir recours au bois mort trouvé au sol. Le charbon de bois est grand consommateur d'arbres verts et vivants. • Certains écosystèmes fragiles imposent le respect de précautions particulières : ne pas sortir des sentiers ou conduire hors piste, limiter le piétinement, ne pas utiliser de moyens de locomotion à moteur, etc. • L'observation des animaux ne doit pas modifier leur comportement naturel et déranger leur vie quotidienne. Il est préférable de garder une distance que les animaux considèrent comme sûre, et de se garder de faire trop de bruit. • Les équipes locales qui vous guident dans l'observation animale sont parfois prêtes, pour de l'argent ou pour faire plaisir, à ne pas respecter ces règles.Alors que l'observation d'un animal non perturbé est in fine plus intéressante que celle d'un animal stressé par votre proximité. • Nourrir les animaux modifie leur régime alimentaire et peut être dangereux. Les singes deviennent ainsi agressifs et voleurs, par exemple. • Il n'est pas recommandé d'utiliser des magnétophones ou autres appelants pour attirer et observer la faune, sans parler de toucher les animaux, pour leur santéet celle des êtres humains. • Éviter de pêcher dans les lacs ou mers où le poisson est rare, ou certaines espèces en voie de disparition. • Il est important de respecter les réglementations en vigueur dans les Réserves ou Parcs naturels. Payer les taxes d'entrées ou de séjour permet la conservation et la préservation des sites.Exiger le reçu de ces taxes permet d'éviter le détournement de ces fonds. • Certains "souvenirs" qui font partie du patrimoine naturel du pays d'accueil ne doivent pas quitter celui-ci. Les graffitis ou autres traces sont des mutilations souvent ineffaçables. • Les accords pour la protection des espèces (CITES) — qui visent à protéger plus de 2 500 espèces d'animaux et 30 000 espèces de plantes menacées — interdisent le commerce de peaux, d'ivoire, d'écailles, de coraux, de coquillages, de même que l'importation d'animaux exotiques vivants. • L'eau potable est parfois une denrée rare qu'il faut utiliser avec parcimonie et éviter de polluer. Les voyageurs doivent préférer autant que possible les lessives sans phosphates, les savons et détergents biodégradables, faire leurs lessives et toilette en aval des habitations et à distance des points d'eau potable. • Il vaut toujours mieux obtenir l'autorisation pour utiliser le puits ou la pompe d'un village et ne pas se laver à proximité, même si les habitants le font. © Atalante - Lonely Planet |
POUR EN SAVOIR PLUS...
Himalayas Voyages Enfants de Tous Pays Association Sakado Association SOLIECOL
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