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Intérêt ENVIRONNEMENTAL




Un environnement naturel sauvage méconnu et pourtant exceptionnel par sa diversité
Partir au Sénégal signifie aussi s'imprégner d'une nature à la beauté et à la variété étonnantes, à apprécier lors de séjours balnéaires, d'excursions magiques, entre fleuve et océan, brousse et désert, ou pendant des safaris dans des parcs animaliers et des réserves considérés comme les plus intéressants d'Afrique de l'Ouest. Le patrimoine naturel est en effet tout a fait exceptionnel et particulièrement bien préservé. Une partie du territoire est inhabité et les conditions pour qu'une faune sauvage abondante vive et se développe en toute quiétude sont parfaitement réunies (éléphants, lions, buffles, crocodiles phacochères, panthères, singes, antilopes... ). En outre, sa situation géographique en fait un passage obligé sur l'une des principales voies de migration de l'avifaune venue d'Europe.
Le Sénégal compte six parcs nationaux et cinq réserves naturelles, qui s'étendent sur 1.5 millions d'hectares, soit environ 8 % de la surface du pays.
Les 4 régions emblématiques du Sénégal :
• La région Nord du fleuve Sénégal et le Parc National du Djoudj
A 70 Km de Saint-Louis, ce parc constitue l'un des plus beaux sanctuaires d'oiseaux de l'Afrique de l'Ouest. Créé en 1971, il doit son originalité et sa richesse à la configuration du delta du fleuve Sénégal et à la mise en activité du barrage de Diama en 1986. Il couvre 16 000 hectares et est constitué de lacs, de marigots et de terres exondés. Chaque année d'octobre à avril, il abrite des millions d'oiseaux migrateurs (canards, hérons pourprés, hérons crabiers, oies de Gambie, cigognes flamants...). Une zone sèche abrite aussi des gazelles dorcas et on découvre des lamantins et des crocodiles dans les marigots. Troisième parc ornithologique au monde, il a été classé en 1981 au patrimoine mondial par l'UNESCO.
• La région du Delta du Saloum
A 120 Km au sud de Dakar, l'estuaire des fleuves Saloum et Sine, au nord de la Gambie forme l’un des plus formidables écosystèmes de la planète : un dédale de plus de 200 îles recouvertes de mangroves, palétuviers, baobabs, fromagers, constituant un réseau d'innombrables bolongs où se mélangent l'eau salée et l'eau douce. Le Sine Saloum est la région des Sérères, constitués des Sine-sine, Safen, Palor, Ndout et Niominka. 334.000 ha du Delta du Saloum sont classés depuis 1981 comme Réserve Mondiale de la Biosphère. Le parc national du Delta du Saloum créé en 1976, deuxième parc du Sénégal après Niokolo Koba, en occupe 76.000 ha. Cette réserve, classée depuis 1984 zone humide d’importance internationale abritent plus de 250 espèces d’oiseaux, pélicans, hérons, aigrettes, sarcelles, goélands railleurs, sternes royales et caspiennes et des phacochères, cobes, hyènes, singes verts, singes patas, lamantins, dauphins, tortues … Les îlots de mangrove, les bolongs bordés de palétuviers et les vasières servent de refuge à des espèces rares et en voie de disparition. Les reptiles y sont nombreux. Crocodiles, serpents, varans, caméléons ou tortues évoluent chacun dans leur environnement et plusieurs amphibiens enrichissent encore la faune du parc. Plus de 200 espèces d'oiseaux totalisant plus de 120 000 individus sont recensés annuellement dans le parc du delta du Saloum. Parmi ces oiseaux nicheurs ou hivernant évoluent de très nombreux limicoles, ardéidés et laridés, dont la sterne royale qui trouve ici une de ses plus grandes colonies sur la planète. Le Delta du Saloum est un magnifique terrain de jeu pour les adeptes d’un tourisme de découverte, proche de la nature, en charrette ou à pied, observation des oiseaux et des mammifères, logement dans des campements villageois…
• Le Sénégal Oriental et le Parc National du Niokolo Koba
Entre la Guinée au Sud, le Mali à l'Est et la Gambie à l'Ouest, le Sénégal Oriental est une région très peu urbanisé qui séduit par ses vallées recouvertes de savane et ses petits massifs montagneux où poussent buissons et baobabs. C'est une terre aride, où il fait particulièrement chaud (entre 42 et 46°C de mars à mai), que peu de touristes connaissent encore et qui pourtant mérite une découverte de plusieurs jours. C'est au coeur de cette région sauvage, qu'à été crée le parc national du Niokolo Koba à 600 Km au sud-est de Dakar et inscrit en 1981 au patrimoine mondial des réserves de la biosphère par l'UNESCO. Ultime sanctuaire de la faune sénégalaise, il couvre une superficie de 900 000 hectares et sert de refuge à un grand nombre de mammifères : éléphants, lions, buffles, crocodiles phacochères, panthères, singes, antilopes... et à plus de 400 espèces d'oiseaux. On accès au parc à partir de Tambacounda (entrée principale) ou Kedougou ; et 600 Km de pistes le sillonnent. Il est traversé par trois rivières, la Gambie, le Niokolo-Koba et le Koulountou, et est ouvert pendant la saison sèche, de novembre à juin.
• La Casamance
Au sud du Sénégal, entre la Gambie et la Guinée-Bissau, la Casamance est la région la plus verdoyante du Sénégal. Ici, forêts profondes et plages infinies, rizières et palmeraies représentent un ensemble unique traversée par le fleuve du même nom qui forme un delta sillonné de "bolongs" constituant un fabuleux labyrinthe propice à de multiples rencontres et découvertes. A l'est du Cap Skirring, c'est le parc le plus luxuriant, avec des fromagers de plus de 10 mètres de hauteur et des palmiers à huile. Il couvre une superficie d'environ 35 000 hectares et comprend plusieurs zones de végétation : sous-bois dense, marécages et mangroves. Dernier vestige de la forêt du Sénégal, il abrite une cinquantaine d'espèces de mammifères : hippopotames, singes, kobs de Buffon, crocodiles, hyènes, panthères... et 200 espèces d'oiseaux.
• Les activités nature (randonnées pédestres et équestres, 4x4, moto, quad, VTT, escalade)
Disposant d'un terrain de jeu immense, les activités nature sont naturellement très répandues, à commencer par les randonnées équestres et pédestres (vers Dakar, sur le Petite Côte, en Casamance, dans le Sine-Saloum et autour de Saint-Louis), les randonnées en 4x4, en moto et en quad sur les dunes et en bord de mer (sur la Petite Côte surtout, mais aussi autour de Saint-Louis et du cap Skirring), le VTT (dans le Sine-Saloum, en Casamance et dans le Sénégal Oriental). Le Sénégal Oriental est idéal pour la pratique de l'escalade, dans des paysages grandioses de collines et de falaises.
• La chasse : une activité phare au Sénégal
La chasse est une activité très répandue. Les zones sont faciles d'accès et bien gérées, le climat est propice et la faune est bien présente, en particulier le gibier à plume (gibier d'eau, perdreaux...). Le Sénégal abrite environ 169 espèces de mammifères, dont 23 peuvent être chassées, ainsi que 32 espèces d'oiseaux, dont 45 peuvent être chassées ou capturées. La période de chasse s'étend, en général entre le 14 décembre et le 1er mai de l'année suivante (parfois dès le 15 novembre et jusqu'au 30 juin pour le gibier d'eau).
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Intérêt CULTUREL




Le Sénégal est parsemé d'un nombre impressionnant de villes et de sites majeurs chargés d'une histoire très forte, qui a marqué le destin de tout le pays et de son peuple. Sillonner le Sénégal, c'est partir à la découverte d'extraordinaires lieux de mémoire ou de culte, où culture, tradition et religion se conjuguent forcément au pluriel. Le Sénégal constitue une porte d'entrée idéale pour appréhender le continent africain. Son âme profonde apparaît au fur et à mesure des visites et des excursions. L'un après l'autre, les villes, les villages, musées et sites emblématiques du pays dévoilent un pan d'une histoire incroyablement riche et mouvementée, une facette différente et inattendue d'une culture plurielle et foisonnante, le visage différent d'un peuple composé de multiples ethnies, qui veillent depuis des siècles sur leurs traditions et leurs rites...
Le Sénégal constitue avant tout une formidable mosaïque d'ethnies, installées dans le pays depuis très longtemps, ou arrivées récemment, au gré des guerres, des conquêtes et des sécheresses. Les principales ethnies sont les suivantes : Les Wolofs (40 % de la population) dont la langue constitue le ciment de la nation sénégalaise, les Pulaars (25 %) qui regroupe à la fois les Foulbés, les Peuls et les Toucouleurs, les Sérères (17 %) et les Diolas (10 %) qui vivent essentiellement en Casamance où ils pratiquent la riziculture. Les 8 % restant étant composés de Mandingues au Sénégal Oriental, de Soninkés à l'Est du pays ainsi que de Bassaris, entre la frontière guinéenne et les limites du parc national de Niokolo-Koba.
Pour comprendre le Sénégal, il est nécessaire de visiter ses musées, de flâner dans ses cités historiques et ses villages les plus pittoresques, de parcourir ses marchés, d'admirer les vestiges de son architecture ancienne, de s'approcher de ses monastères et mosquées, de s'intéresser à l'artisanat local...
Les principaux lieux historiques :
• Gorée, l'île mémoire
Petite par la taille (28 hectares), mais immense par son héritage, l'île de Gorée à 4 Kilomètres au large du port de Dakar, est le témoin bouleversant de 350 ans de traite négrière. Cette île préservée, véritable havre de paix enchanteur et envoutant, est classée patrimoine mondial par l'UNESCO, qui reconnaît ainsi son extraordinaire valeur, en tant que lieux de mémoire, de pèlerinage et de recueillement. Pendant trois siècles, c'est sur cette île que des milliers d'Africains réduits à l'esclavage étaient embarqués vars le Nouveau Monde.
• Dakar
Le Marché de Sandaga, labyrinthe de boutiques et d'étals situé en plein cœur de la ville, est un concentré de la vie quotidienne sénégalaise. Le musée Théodore Monod d’art africain au sein de l'IFAN (Institut fondamental d'Afrique noire) est considéré comme l'un des plus beaux musées d'Afrique de l'Ouest : il est consacré aux arts et traditions de l'Afrique de l'Ouest et présente plus de 12 000 objets de collection, parmi lesquels des masques et costumes traditionnels, des sculptures, des tissus, des instruments de musique et des outils agricoles. Mais l'attrait de Dakar se trouve aussi, voire surtout dans sa vie nocturne et musicale. À l'est de Dakar, Soumbédioune est un village de pêcheurs traditionnel, englouti par la capitale, qui mérite une demi-journée.
• Saint Louis, la belle du Nord
Ville d'Art et d'Histoire fondée au XVIIème siècle, la cité du nord du pays s'étend sur une île. Saint Louis doit son nom au roi de France Louis XIII. Ex-capitale de l'Afrique Occidentale française (de 1897 à 1902) et plaque tournante du commerce (esclaves, or, ivoire) vers l'Europe et l'Amérique, cette cité mythique et fascinante a vu son centre historique classé au patrimoine mondial de l'UNESCO? La vieille ville a conservé de jolis restes de son passé florissant, à l'image des maisons coloniales à étages, aux façades de chaux chatoyantes, ornées de balcon en fer forgé, et recouverte d'une toiture à double pente recouverte de tuiles rouges.
• Ziguinchor et l'île de Karabane : la Casamance historique
Fondée par les Portugais en 1560, la cité-jardin de Ziguinchor (130 000 habitants) est la capitale de la région Casamance. Elle fût une escale importante pour les négriers portugais et est devenue depuis, grâce à son accès maritime, un important centre commercial et agricole. La plus africaine des villes sénégalaises séduit aujourd'hui par son charme désuet et sa nonchalance.
Les produits de l'artisanat sont une des caractéristiques fondamentales de la vie sénégalaise. Plusieurs corporations travaillent depuis la nuit des temps le bois, la pierre, l'argile, le coton, le cuir, le fer, l'or, l'argent et le bronze.
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Intérêt BALNÉAIRE




600 Km de plage en continu de sable fin
Le Sénégal possède plus de 600 kilomètres de littoral, bordé de longues et belles plages de sable fin, très "africaines", sauvages et superbes pour la plupart et agrémentées d'une végétation particulière : filaos, cocotiers, palmiers. Il s'affirme comme l'une des destinations phares pour les Européens qui recherchent le soleil et veulent se baigner en hiver.
Les plages de la "Petite Côte" qui s'étendent sur 115 kilomètres, de Bargny à la pointe Sangomar en passant par les stations balnéaires de Saly, La Somone et Nianing, notamment, sont très appréciées : l'ensoleillement est quasi permanent l'eau est tempérée, le sable blond et fin et la baignade est sûre. La température moyenne oscille entre 26° en janvier à 32 en septembre ou octobre. Quant à l'Océan, la température de l'eau varie entre 18 °C et 29° à la fin de l'été. On surnomme cette large baie "la Riviera Sénégalaise" ou bien "la Côte d'Azur du Sénégal". Du Nord au Sud, la Petite Côte dispose de tous les atouts pour séduire le plus grand nombre de visiteurs grâce à ses kilomètres de plages. Tous les sports nautiques sont possibles, de la voile sous toutes ses formes au surf en passant par la planche à voile, le ski nautique, le kayak ou le jet ski. Les meilleurs "spots" se situent vers Dakar, sur la Petite Côte, dans le Sine-Saloum et en Casamance. Pour une découverte plus authentique, il est également possible de louer une pirogue à voile ou à moteur pour sillonner les fleuves et les bolongs, par exemple en Casamance, dans le Sine-Saloum sur sur le fleuve Sénégal.
Attention : La plage de Saly a subit récemment d'importants phénomènes d'érosion au niveau des hôtels
Club Lookéa Les Filaos,
Club Framissima Palm Beach,
Espadon et
Bougainvillées. La plage a considérablement diminuée et est par endroit inexistante (côté sud du
Club Framissima Palm Beach). Afin de limiter l'érosion, le génie civile a érigé une digue de gros rochers avec des pontons (qui enjambent la digue) tous les 50 mètres pour accéder à l'eau.
Pour trouver les plus belles plages de Saly avec un accès direct à l'eau sans digue, orientez vous vers les hôtels :
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Lamantin Beach
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Royam
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Club Jet Tours Royal Baobab
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Intérêt PLONGÉE / SNORKELING




La plongée sous-marine est un sport bien répandu au Sénégal. La presqu'île de Dakar, principalement, mais aussi les abords de la Somone (sur la Petite Côte) possèdent des fonds sous-marins d'une beauté et d'une richesse rares, tapissés de gorgones et d'épaves de bateaux en nombre exceptionnellement important (les eaux qui entourent Dakar sont même considérés comme l'un des plus grands cimetières marins). Et la clarté de l'eau est si grande que l'on peut observer dans des conditions parfaites la vie sous-marine... Les espèces colorées des eaux tropicales, les poissons perroquet, ange ou papillon sont présents tout au long de l'année. De juin à décembre, lorsque la température de l'eau le permet (elle atteint 30 ° C en août et septembre), les pélagiques d'eau chaude, requins, thons, carangues, barracudas et parfois même des raies manta, dominent. De janvier à mai, la température chute (16° C en mars - avril). Les espèces d'eau plus tempérées remontent alors en nombre vers les eaux superficielles.
• Une destination pêche de premier plan
Un phénomène spécifique de remontée d'eau (le "upwelling") fait que les eaux du Sénégal, en particulier celles du Cap Vert, sont particulièrement poissonneuses. Les pays est donc une destination très connue et prisée des pêcheurs du monde entier qui y multiplient les parties de pêche inoubliables et les bonnes prises. Différentes techniques de pêche peuvent être pratiquées au Sénégal avec, à la clé des espèces de poissons spécifiques à traquer. Pour la pêche au gros, une cinquantaine d'espèces ont été recensées parmi lesquelles les espadons, voiliers, marlins, bleus, thons, albacore, barracudas, corryphènes, requins, mérous, sérioles, bonites, thiofs et autres tarpons. L'International Game Fish Association de Floride a reconnu 22 de ces espèces et il faut savoir que le Sénégal détient plusieurs records du monde dans le domaine. La pêche au gros est principalement pratiquée à Dakar et sur la Petie Côte (notamment au départ de Saly), mais aussi à Saint Louis, dans le Sine-Saloum et en Casamance (meilleure période : du 15 mai au 15 décembre). Pour la pêche en mangrove (à la traîne, à la palangrotte et au lancer, parfois sur les pirogues traditionnelles), il faut se rendre en Casamance et dans le Sine-Saloum (où la densité des poissons est plus importante pendant la saison des pluies). La pêche en rivière est peu répandue et se concentre au Sénégal Oriental (fleuves Gambie, Niokolo et Famélé) et dans le fleuve Sénégal.
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Intérêt GOLFIQUE




Le Sénégal abrite trois parcours situés dans les principales régions touristiques que sont Saly et le Cap Skirring et la capitale Dakar, ce qui peu au regard de l'immensité du pays.
• Le Golf de Saly
Le golf de Saly est l'un des plus beaux d'Afrique Occidental mais malheureusement le manque d'eau chronique n'est pas sans poser des problèmes. Il s'agit d'un parcours 18 trous (par 72 - 6038 mètres), dont sept avec un obstacle d'eau. Techniquement, il ne comporte pas de difficultés majeures. On peut y jouer facile et long, ou court et technique. En dehors des mois de septembre et octobre, les fairways sahéliens ne sont pas engazonnés, on y joue sur "wintertees". Chaque trou dispose cependant d'un départ et d'un avant-green engazonnés.
• Le Golf du Cap Skirring
Au coeur d'une végétation luxuriante, ce parcours de 9 trous avec practice et putting green est destiné aux golfeurs chevronnés comme aux débutants. Intégré au Village du Club Med, il bénéficie de l'encadrement de moniteurs qualifiés, d'équipements performants. Possibilité de stages (à partir de 12 ans), cours collectifs.
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Intérêt THALASSO




L'hôtel
Lamentin Beach Resort & Spa à Saly est l'unique hôtel du Sénégal à dispose d'un centre balnéothérapie de remise en forme. le centre du Lamantin Beach Hôtel est un espace riche en couleur et qui propose de découvrir des techniques de soins basées sur les principes de la médecine énergétique chinoise. Les différents traitements font ainsi référence aux 5 éléments (le bois, le feu, la terre, le métal et l'eau), à l'équilibre yin et yang, et à la chromathérapie. Doté notamment d'une piscine ludique d'hydrothérapie, de 14 cabines de soins, d'un hammam et de douches à jets, cet espace très moderne offre dans une ambiance zen, de nombreux soins à la carte, différentes formules et des cures d'une durée de 6 jours.